Services

Services de révision linguistique

Je peux effectuer la révision de votre document sous plusieurs aspects :

  • orthographe
  • grammaire
  • lexique
  • syntaxe
  • typographie
  • niveau de langue
  • anglicismes et impropriétés
  • mise en page
  • organisation et cohérence du texte.

Services de correction de textes

Votre document est prêt pour l’impression? Mon œil minutieux et expérimenté saura repérer les coquilles et les erreurs qui se sont glissées dans votre texte.

Correction d’épreuves sur support informatique avec suivi des modifications dans le logiciel Word ou documents PDF.

* Je ne prends plus de mandats pour des travaux d’étudiant(e)s ni pour des particuliers (non corporatifs), SAUF les auteur(e)s et les futurs auteur(e)s (manuscrits littéraires, essais, biographies, récits, etc.). *

Et la nouvelle orthographe, dans tout ça?

Des rectifications orthographiques du français ont été proposées en 1990 par un conseil regroupant d’éminents linguistes de la francophonie afin de simplifier la langue ou de l’uniformiser. On l’appelle communément la « réforme orthographique » ou encore la « nouvelle orthographe ». Près de 25 ans plus tard, les rectifications sont de plus en plus utilisées dans la langue écrite, entre autres grâce à de nombreux outils linguistiques qui en prennent compte (dictionnaires papier et numériques). Pour n’en nommer qu’un exemple, pensons au logiciel linguistique Antidote.

Lors de la correction d’un document, je tiens compte de la nouvelle orthographe selon votre demande. Il faut se l’avouer, la réforme orthographique complique un peu la vie des réviseurs, mais nous sommes là pour rendre vos textes uniformes. Ainsi, sans m’assurer que tous les termes concernés sont écrits selon la nouvelle ou l’ancienne orthographe, je me préoccupe de la constance dans les différentes graphies possibles des termes utilisés dans votre texte.

« Une langue qui se fixe est une langue qui meurt. »  (Victor Hugo)

Services de révision littéraire (manuscrits)

Vous avez terminé votre manuscrit et, fébrile, vous vous apprêtez à le soumettre aux éditeurs? Ou encore vous avez opté pour l’autopublication de votre œuvre. Vous l’avez même fait lire à un parent ou à un proche qui s’y connaît bien en français. Mais horreur! Des erreurs et des coquilles parsèment votre texte, et ce, même si vous l’avez relu mille fois!

La qualité linguistique est absolument essentielle à tout type de publication. Une orthographe et une grammaire impeccables sont le gage d’un succès littéraire. C’est ce qui vous donne par-dessus tout une image professionnelle et, surtout, c’est ce qui donnera envie à votre lectorat qui feuillettera votre œuvre d’y plonger en toute confiance. Un manuscrit révisé par un professionnel peut faire une grande différence lorsqu’il sera rendu sur le pupitre de l’éditeur. En outre, il peut éviter que votre œuvre en devenir passe rapidement de l’enveloppe postale… à la corbeille de papier! (Geste qui peut réellement être posé au sein des maison d’édition.)

Ne sous-estimez pas le travail d’un réviseur linguistique : il peut corriger ou retravailler syntaxe, grammaire, orthographe, ponctuation (oui, oui : toute virgule a une raison d’être!), typographie, niveaux de langue ainsi que logique du texte. Il peut aussi vous conseiller en matière d’écriture et vous donner des trucs pour vous améliorer (parce que, entre vous et moi, vous allez sans doute, en tant qu’auteur, vous commettre à nouveau). De plus, il est souvent le premier lecteur objectif qui commentera votre œuvre. On s’entend : même si vous êtes très proche de votre mère, elle n’osera jamais vous dire le fond de sa pensée sur votre œuvre, par peur de vous blesser. Le réviseur linguistique, si… mais c’est pour parfaire votre récit, bien sûr!

Par ailleurs, chaque fois que je révise un manuscrit, les services comprennent du conseil littéraire, surtout s’il s’agit d’une première lecture, et non d’une correction d’épreuves. Je révise le manuscrit comme si j’étais dans la peau du lecteur; je suis donc très attentive aux sensations et aux émotions que je ressens pendant la révision (longueur, rythme trop rapide ou trop lent, confusion, imprécision, intensité dramatique, rire, sourire, larmes, etc.).

Je peux donc vous servir de conseiller littéraire. Je ne peux pas vous garantir une lettre d’acceptation de votre manuscrit de la part d’un éditeur, mais je peux vous outiller pour déposer un manuscrit peaufiné qui a plus de chance d’attiser l’intérêt de l’éditeur. Je peux faire un diagnostic de vos forces et faiblesses, et vous aider à décortiquer l’origine de vos doutes quant à votre œuvre.

Vous êtes un nouvel auteur qui en est à ses premières armes dans l’écriture? Même si vous avez l’intention d’utiliser les services d’un réviseur professionnel, armez-vous d’abord de l’outil de travail essentiel de l’auteur : un logiciel de correction (ex. : Antidote). Si vous avez la passion des mots, il est primordial que vous ayez en main un tel outil, qui comprend dictionnaires, guides et correcteur.

Avant de soumettre votre manuscrit en lecture à qui que ce soit (ami, réviseur, éditeur), 3 étapes essentielles à suivre :

1. Passez un logiciel de correction sur votre fichier;

2. Relisez votre manuscrit au complet à voix haute, ce qui permet de mieux entendre les répétitions et les petits défauts qu’on n’entend qu’à l’oral;

3. Relisez-le encore et encore. Si vous écrivez, c’est que vous êtes un amoureux des mots. Prenez soin de vous arrêter sur chacun des mots que vous avez utilisés, puis demandez-vous si c’est le terme qui exprime le mieux votre propos. Est-il de bon niveau, efficace, pertinent, précis?

Comme l’a écrit Stephen King, le maître de l’horreur américain :
« Et relisez votre manuscrit. […] Prenez toutes les notes que vous voulez, mais concentrez-vous sur les basses besognes, comme corriger l’orthographe et relever les incohérences. Elles ne manqueront pas, croyez-moi; seul Dieu a réussi du premier coup, et seul un je-m’en-foutiste dira : Je laisse tomber, il faut bien que les correcteurs gagnent leur vie. »

Nouvel auteur à la recherche d’un réviseur?

Vous venez d’écrire le mot FIN à votre premier manuscrit littéraire. Vous en êtes bien fier et vous êtes rendu à la fatidique étape de le faire réviser par un réviseur. Vous êtes à la fois fébrile et craintif. Et avec cause : vous allez remettre dans les mains d’une personne étrangère votre petit chef-d’oeuvre. Comment lui faire confiance et comment évaluer réellement ses compétences devant le grand bassin de pigistes disponibles?

Voici 3 questions à se poser lors de la recherche de la perle rare :

  1. Quel est le diplôme du réviseur?
    Une formation en lettres, en langues, en linguistique, en rédaction ou en communication est primordiale. Une enseignante qui a 30 ans d’expérience en enseignement au cycle primaire ne constitue malheureusement pas un spécialiste du style littéraire ni de l’analyse d’une intrigue fictive. Un lecteur expérimenté non plus.
  2. Quelle est l’expérience du réviseur?
    Possède-t-il une spécialisation ou une expertise en manuscrits littéraires? La révision d’un rapport annuel d’entreprise ne requiert pas les mêmes aptitudes que celle d’un roman, où le développement de l’intrigue et la psychologie des personnages doivent être pris en compte. Posez-des questions au réviseur : a-t-il déjà révisé un manuscrit de votre genre littéraire (polar, thriller, psychologique, historique, etc.)? Le site web du réviseur affiche-t-il des commentaires d’auteurs qui ont été satisfaits de ses services?
  3. Devrais-je fournir le fichier complet de mon manuscrit pour une soumission?
    Idéalement, non. Avant de remettre votre précieux fichier, contactez le réviseur par téléphone ou par courriel pour connaître sa disponibilité. Par la suite, vous pourrez lui fournir un extrait ou quelques chapitres du fichier pour obtenir une soumission (tout en donnant le nombre total de mots du récit).

« Croire qu’un manuscrit refusé par tous les éditeurs avant d’être téléversé sur Amazon est comparable à un ouvrage lu, relu et peaufiné par plusieurs professionnels du livre n’est pas avoir une vision démocratique de l’édition, mais une idée mal informée du métier. »  (Le luxe de l’indépendance de Julien Lefort-Favreau)

Réalisation : Roberto Martínez